Comme le dit Elie il y a une petite subtilité mais...pas très compliquée sur les décodeur d'accessoires CDF.
- Gilp a écrit:
J’ai bien noté qu’il était inutile de compléter avec un TCO physique mais cette possibilité m’intriguait…
En effet ils sont prévus pour fonctionner en manuel avec des boutons ou avec la centrale, c'est comme ça que je les utilise je n'ai pas de TCO physique, par la suite quand tu va utiliser TC c'est ce dernier qui donnera l'info à la centrale de manœuvrer mais tu pourras également cliquer sur l'icone de l'aiguillage sur le TCO de TC pour les manœuvrer manuellement hors trajets ou itinéraires. Il m'arrive encore de manœuvrer de temps en temps les trains avec le bouton de la centrale et les aiguillages avec TC.
Les caractéristiques de ces décodeurs :Le décodeur est pourvu de plusieurs connecteurs et borniers :
P1 qui reçoit les commandes venant du circuit de voie principal du réseau DCC sur les bornes 1 et 2 (TRK) , et qui doit être connecté à une source d’alimentation sur les bornes 3 et 4.
P2 qui sera connecté aux 4 moteurs d’aiguillages
P3 est un connecteur qui peut être relié à des interrupteurs ou à des boutons poussoirs pour permettre une commande locale des aiguilles, en bénéficiant bien entendu du système de décharge capacitive.
Derrière le connecteur P1, on trouve un cavalier J01 qui devra être retiré pendant la programmation, puis réinstallé ensuite pour empêcher toute modification intempestive de la configuration.
Enfin, une diode électroluminescente jaune est présente entre le cavalier J01 et le connecteur P3, cette diode est utilisée comme indicateur d’état.
Lors de la première mise en service, ce décodeur doit être configuré, cette configuration sera mémorisée dans les variables de configuration du décodeur (CV), en utilisant les mêmes outils de programmation que pour la configuration des décodeurs de locomotives.
ADRESSAGE
Chaque décodeur d’accessoire doit avoir sa propre adresse qui lui permet de sélectionner les ordres qui lui sont destinés.
Cette adresse peut prendre une valeur allant de 1 à 511, et chaque décodeur permettant la commande de 4 aiguilles, il est possible de commander jusqu’à 2044 aiguilles.
Le décodeur d’adresse 1 commande les aiguilles dont les numéros vont de 1 à 4,
Le décodeur d’adresse 2 commande les aiguilles dont les numéros vont de 5 à 8,
Le décodeur d’adresse 3 commande les aiguilles dont les numéros vont de 9 à 12, etc …
Attention, certaines centrales permettent la commande des aiguilles à partir du numéro d’aiguille, d’autres à partir de l’adresse du décodeur.
Ce décodeur à été validé à ce jour avec les centrales digitales suivantes : ESU EcoS, UHLENBROCK Intellibox, LENZ SET90-100, ZIMO MX1 MX31ZL, ROCO Multimaus.
A noter : dans le cas de la Multimaus de ROCO, il y a une erreur dans le plan d’adressage, cette centrale considère que l’aiguille 1 est contrôlée par la sortie 1 du décodeur d’adresse 0, ce qui entraine un décalage de 4 entre les numéros d’aiguille vus depuis cette centrale, et ce que prévoit la norme, ainsi l’aiguille qui serait vue sous le numéro 9 par une autre centrale sera vue au numéro 13 avec la Multimaus.
VARIABLES DE CONFIGURATION
Les variables de configuration suivantes sont utilisées par ce décodeur :
La norme DCC ayant récemment évolué à ce sujet, chaque CV peut être atteinte sous deux numéros différents, par exemple CV29 ou CV541 pour la configuration générale.
L’adresse du décodeur est mémorisée dans les CV
La norme DCC ayant récemment évolué à ce sujet, chaque CV peut être atteinte sous deux numéros différents, par exemple CV29 ou CV541 pour la configuration générale.
L’adresse du décodeur est mémorisée dans les CV #1 et #9. La CV #1 contient les 6 bits de poids faibles et la CV #9 contient les 3 bits de poids fort.
Certaines centrales modernes comme celles de ZIMO ont dans leurs outils de programmation, un mode spécifique pour l’adressage auquel on donne l’adresse choisie pour le décodeur et la centrale assure automatiquement la mise à jour des CV #1 et #9. Avec les autres centrales, il faut déterminer les valeurs des CV #1 et #9 à l’aide du tableau ci-dessus, puis programmer ces deux valeurs dans le décodeur.
La CV #2 permet d’autoriser ou non les commandes locales via le connecteur P3. Chaque bit de la CV #2 contrôle une des entrées, le bit 0 contrôle l’entrée 1, le bit 1 contrôle l’entrée 2, etc … Si le bit est à 0 l’entrée locale est désactivée, si le bit est à 1 l’entrée locale est activée. Par défaut (en sortie d’usine) la CV #2 est à 255, les 8 entrées locales sont activées.
CONFIGURATION DU DECODEUR (PROGRAMMATION DANS TA CENTRALE LENZ)
Pour réaliser la configuration du décodeur,
celui-ci devra être relié à la sortie « voie de programmation » de la centrale DCC (bornes 1 et 2 du connecteur P1) ainsi qu’à un transformateur d’alimentation délivrant une tension alternative de 14 à 18V (bornes 3 et 4 du connecteur P1). Le cavalier J01, (voir image ci-dessus) qui assure la protection contre des modifications intempestives de la configuration
devra être enlevé.
Tant que ce cavalier est en place, le décodeur ignore toutes les instructions de programmation en mode « programmation sur la voie de programmation ».
Il faudra alors utiliser ta centrale DCC pour donner son adresse au décodeur (CV # 1 et #9), et éventuellement agir sur la CV #2 qui contrôle les entrées de commandes locales.
Lorsque la configuration est terminée, ne pas oublier de remettre en place le cavalier J01.
Seule la CV #2 reste alors accessible en écriture, et uniquement en mode « programmation sur la voie principale ».
Parmi les centrales mentionnées plus haut,
seules les centrales ESU et ZIMO permettent l’écriture des CV en mode « programmation sur la voie principale » pour les décodeurs d’accessoires.
Lors de la mise en service du décodeur, celui-ci devra être relié à la sortie « voie principale » de la centrale DCC pour recevoir les instructions (bornes 1 et 2 du connecteur P1), ainsi qu’à un transformateur d’alimentation délivrant une tension alternative de 14 à 18V (bornes 3 et 4 du connecteur P1).
On vérifiera que le cavalier de protection J01 a bien été remis en place. Enfin les 4 moteurs seront reliés aux bornes du connecteur P2.
La led indicateur d’état doit s’allumer de manière fixe, dès la mise sous tension, un allumage intermittent indique que la tension d’alimentation est insuffisante.
La led s’éteint brièvement lors de la réception d’une commande destinée à ce décodeur et se rallume dès que le condensateur réservoir est à nouveau chargé.
voilà
yapluka 
Portail 
) de façon à ce que les lames mobiles viennent juste à plaquer sur le rail mais elles ne touchent pas vraiment (un cheveu de vide) ce qui fait que je n'ai pas le grognement du S moteur. je vérifie avec mon système ampèremétrique en série ( si le servo est en tension cela engendre une chute de tension sur l'alim de la carte, PAS BON!!) pour les dissipateurs j'en monte d'office sur tous les composants prévus pour; j'utilise même la pâte prévue à cet effet.
